Chez Renault, Bruno Le Maire défend la reconquête industrielle

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L’usine, qui va produire les fourgons électriques pout l’entreprise Flexis, créée par Renault, Volvo et l’armateur CMA CGM, devrait embaucher 550 salariés d’ici quatre an.
Sarah Meyssonnier / REUTERS

À Sandouville, où Renault a annoncé un investissement de 300 millions d’euros, le ministre de l’Économie a défendu la nécessité de pérenniser la politique menée depuis 2017.

Les deux longues chaînes de montage font toute la longueur du bâtiment principal de l’usine Renault de Sandouville, juste à côté du Havre. Au fur et à mesure, les caisses du Trafic, cet utilitaire léger à succès, sont équipées d’un tableau de bord, d’un moteur, de sièges, de pneus. Depuis 2014, l’usine de Sandouville s’est spécialisée dans l’assemblage de ce véhicule. Il en sort actuellement 135.000 exemplaires par an. Vendredi, Bruno Le Maire, le ministre de l’Économie, Luca de Meo, le directeur général de Renault, et Édouard Philippe, le maire du Havre, ont longuement déambulé le long de ces lignes de montage.

Des nouveaux utilitaires électriques

Le ministre de l’Économie mais également de la Souveraineté industrielle était là pour parler réindustrialisation. Et la marque au losange lui a donné quelques arguments pour en montrer la réussite. « La nouvelle génération de fourgons 100 % électriques sera assemblée à Sandouville à horizon 2026, a expliqué Luca de Meo. Nous allons investir 300 millions d’euros pour cela et embaucher…

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Source du contenu: www.lefigaro.fr

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