Seclab se voit en future licorne européenne de la cybersécurité

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Le centre hospitalier d’Armentières a subi une cyberattaque pendant le week-end du 10 février 2024.
DR

Cette pépite française qui a fait ses preuves auprès des industries critiques, avec une technologie basée sur l’électronique, s’adresse désormais aux entreprises, aux hôpitaux et aux collectivités locales.

Piratage de France Travail, entre le 6 février et le 5 mars 2024, avec fuite de 43 millions de données personnelles de demandeurs d’emploi sur les vingt dernières années. Cyberattaque du centre hospitalier d’Armentières, au cours du week-end du 10 février dernier, l’obligeant à fermer temporairement ses urgences. L’établissement des Hauts-de-France s’est fait voler les dossiers médicaux de plus de 300.000 patients. En août dernier, l’hôpital de Corbeil-Essonnes avait subi le même sort.

Selon l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi), 187 incidents ont affecté les collectivités territoriales entre janvier 2022 et juin 2023, soit une moyenne de dix incidents par mois. Dans son rapport « Data Threat » (« menace sur les données »), publié mi-mars, Thales fait état d’une hausse de 27 % des entreprises victimes d’une attaque par rançongiciel en 2023.

Face à cette menace croissante, « impossible de tout protéger, ce serait illusoire », estime Michel Van Den Berghe…

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Source du contenu: www.lefigaro.fr

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