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Conflit en mer Rouge : pourquoi la Chine reste prudemment à l’écart

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Un destroyer 052D chinois au large d’Oman.
– / AFP

Pékin, malgré le ralentissement économique causé par les attaques des Houthis, n’a pris aucune mesure militaire dans le détroit de Bab-el-Mandeb.

La Chine préfère… demeurer à l’écart. Les Houthis arraisonnent des navires de fret, précipitent la création d’une coalition internationale chargée d’assurer la libre navigation et tirent des missiles vers Israël, mais Pékin regarde la crise de loin. La deuxième puissance mondiale, par la voix de son ministre des Affaires étrangères, a tout de même «exprimé sa profonde inquiétude quant à la recrudescence des tensions en mer Rouge, tout en appelant à mettre un terme au harcèlement des navires civils», le 14 janvier. Mais trois jours auparavant, elle s’était prudemment abstenue, comme la Russie, lors du vote d’une résolution du Conseil de Sécurité de l’ONU qui condamnait «dans les termes les plus forts les attaques, deux douzaines au moins, contre les navires marchands et commerciaux depuis le 19 novembre 2023».

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Source du contenu: www.lefigaro.fr

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