Cet hiver il n’est plus question de sortir sans. Les couvre-chefs relèvent la tête.
Choisir un chapeau n’est pas anodin. Original, pratique ou formel, le couvre-chef s’impose comme l’une des pièces fortes du vestiaire masculin. Un temps boudé par deux générations, le voilà plébiscité par les plus jeunes qui y voient le couronnement d’un style. L’hiver, l’avantage va au bonnet. Simple et usuel, il n’est plus réservé aux montagnards et aux ouvriers, mais bénéficie d’une aura de décontraction amplifiée par le streetwear. Les adeptes du style rustique choisiront une belle laine au grammage généreux, comme celle de Mackie of Scotland, Hackett ou Façonnable, tandis que les citadins opteront volontiers pour du cachemire.
Ceux de Falconeri sont si fins et doux qu’ils peuvent se glisser sous un casque de vélo ou de scooter. Alternative: la capuche plastron doudoune imaginée par Yves Salomon.
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L’autre totem du moment est la casquette Baker Boy. Parfois dénommée Gavroche, plus volumineuse que la casquette plate à l’anglaise, elle assure une allure mi-gentleman, mi-mauvais garçon, avec…
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