Pour la première fois de l’histoire des JO, le design des récompenses sportives a été confié à un joaillier, la maison Chaumet. Récit d’un projet de plusieurs mois mené dans la plus grande discrétion.
Officiellement, les équipes de LVMH et de Chaumet n’ont commencé à travailler sur les médailles olympiques qu’en juillet dernier lors de l’annonce de la signature du partenariat premium entre le groupe de luxe et Paris 2024. Officieusement, certains n’avaient pu s’empêcher durant les longs mois de négociation entre les deux parties de tout de même y réfléchir et esquisser quelques croquis. «La décision d’impliquer Chaumet, grande maison parisienne, alors que les jeux se déroulent à Paris, était logique et évidente, explique au Figaro Antoine Arnault, administrateur de LVMH, et chef d’orchestre du projet au sein du groupe. Dès la signature, nous avons commencé à travailler très activement, en partant de l’idée géniale de Paris 2024 d’inclure un véritable morceau de la tour Eiffel. Malgré les contraintes et le cadre fixé par le CIO, une grande liberté créative a été laissée à l’équipe de Chaumet. »
Les artisans de la place Vendôme ont abordé le projet « comme une commande spéciale », à l’instar…
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