Les ministres d’aujourd’hui sont souvent les cadres d’hier au Palais Bourbon. Ce remaniement ne fait pas exception.
Qui dit remaniement dit bien souvent changement dans les postes stratégiques à l’Assemblée nationale. Car les ministres d’aujourd’hui sont souvent les cadres d’hier au Palais Bourbon. Ce remaniement ne fait pas exception. Jeudi, celle qui occupait jusqu’ici l’un des trois sièges, très convoités, de questeur de la Chambre basse, la députée de l’Essonne Marie Guévenoux, a été nommée au gouvernement ministre déléguée aux Outre-mer. Même chose pour celui qui était jusqu’alors président de la commission des affaires économiques, le parlementaire d’Eure-et-Loir Guillaume Kasbarian, qui hérite du portefeuille du Logement au sein de l’exécutif. Deux postes clés de l’institution ainsi laissés vacants.
Une aubaine pour les députés de la majorité relative qui souhaitent prendre du galon à l’Assemblée. Certains avaient d’ailleurs anticipé ces nominations, annonçant, dans la foulée de la communication du nouveau gouvernement, leur volonté d’être candidats sur la boucle Telegram (application de messagerie…
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