ENTRETIEN – Ancienne gloire de l’OM qui a vécu qui a vécu la « main de Vata » en 1990, Éric Di Meco est pessimiste avant le quart de finale de Ligue Europa contre Benfica jeudi.
Il était aux premières loges. Éric Di Meco, légende de l’Olympique de Marseille (277 matchs), était au marquage de Vata lorsque, le 18 avril 1990, le joueur de Benfica a marqué un but litigieux et décisif, en demi-finale retour de Ligue des champions. C’est devenu « la main du diable », un traumatisme qui n’en est plus un pour Di Meco, 60 ans aujourd’hui, et qui a revu l’Angolais trente-quatre ans après dans l’émission « Rothen s’enflamme » diffusée lundi sur RMC. L’OM, 8e de Ligue 1, retrouve Lisbonne ce jeudi (21 heures) en quarts de finale aller de Ligue Europa, dans l’espoir de sauver une saison morose.
LE FIGARO. – Vous avez parlé avec Vata pour la première fois depuis 1990. Comment cela s’est-il passé ?
ÉRIC DI MECO. – Ça s’est bien passé. On ne savait plus où il était, Jérôme Rothen a réussi à la retrouver. Il est en Australie. On a dû enregistrer ça à midi (à cause du décalage horaire, NDLR). La première bonne nouvelle, c’était qu’il parle français. Ça a permis d’avoir un…
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