La belle vie du MMA en amateur, loin des excès du sport spectacle

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Un poing levé, enserré dans un bandage, recouvre la porte d’entrée du gymnase de la rue Chamson, quartier de la Belle-de-Mai, à Marseille. Peu de doutes sur les disciplines à l’honneur dans ce lieu, puisque l’auteur du dessin a ajouté les mots kung-fu, bugei (un art martial japonais), JJB (jiu-jitsu brésilien) et MMA (Mixed Martials Arts).

C’est surtout pour cette dernière activité que le club, installé au pied d’une dalle d’immeubles gangrenés par le chômage et le trafic de drogue, est reconnu. Les cours se font sous la houlette d’Yvan Sorel, un enfant de ce 3arrondissement populaire, initié tôt aux arts martiaux, multiple champion de France et professionnel de MMA. Ils s’enchaînent tous les jours de la semaine à partir de 18 h 30. Et ce, toute l’année, sans discontinuer.

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Source du contenu: www.lemonde.fr

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